Team:SupBiotech-Paris/Equipe
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[[image:Photo2.jpg|frameless|caption|left|100px]]Enfin, pour la partie modélisation, '''Timothée KIRKHUS''', étudiant en 4ème année spécialisé en Production en biotechnologie, a déterminé les effets d'une surexpression de P53 dans les cellules saines via l'étude des différentes Pathways dans lesquelles P53 entre en jeu.<br> | [[image:Photo2.jpg|frameless|caption|left|100px]]Enfin, pour la partie modélisation, '''Timothée KIRKHUS''', étudiant en 4ème année spécialisé en Production en biotechnologie, a déterminé les effets d'une surexpression de P53 dans les cellules saines via l'étude des différentes Pathways dans lesquelles P53 entre en jeu.<br> | ||
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Revision as of 22:46, 29 September 2009
Une équipe se défini en deux points : ses membres et sa stratégie de fonctionnement.
Découvrez donc les caractéristiques de notre équipe…
Stratégie d’équipe
Pour le développement d’un projet innovant, plusieurs éléments sont essentiels :
- le concept,
- le développement théorique permettant une concrétisation d’un prototype,
- le développement expérimental pour valider le prototype,
- l’apport des besoins techniques et matériels,
- l’évaluation des problématiques éthiques et sociétales soulevé par le projet,
Dans cette optique, nous avons structuré notre équipe de la manière suivante :
Une équipe managériale, ayant l’expérience dans le développement de projets innovants et une vision complète dans la gestion de ceux-ci.
Une équipe R&D pour valider le concept d’un point de vue théorique et expérimental.
Une équipe communication pour subvenir aux besoins internes et externes du projet.
L’équipe
Voici l’histoire de notre équipe pour l’aventure iGEM 2009 :
Passionné de science, il a conçu durant son cursus un concept innovant basé sur le principe de vectorisation. Convaincu de sa faisabilité, il a choisi de poursuivre ses recherches afin d’en réaliser le prototype. Pour arriver à ses fins, il a étudié avec entrain les publications et s’est tourné vers les grands noms du domaine. Une fois ses connaissances théoriques suffisantes, il a développé ses compétences expérimentales au sein du laboratoire du Professeur COUVREUR, sur la réalisation d’une nanoparticule anticancer.
Alliant la théorie à l’expérimentation, il a pris conscience des problématiques sous-jacentes de la vectorisation et a élaboré le système de double vectorisation (DVS) pour y répondre.
Par la suite, il a sélectionné, pour l’aventure iGEM, les étudiants de l’équipe via leurs compétences inhérentes au projet.
Grâce à leurs expériences communes et complémentaires dans la création et le développement de projet, Enguerrand était convaincu de l’intérêt de la présence de Gaella au sein du projet iGEM.
Etudiante en 5ème année spécialisée Marketing Commercial en biotechnologie, elle a forgé ses compétences à travers ses différentes expériences professionnelles.
Durant l’aventure iGEM, elle a managé une équipe de 3 étudiants avec lesquels elle s’est chargée de prospecter des sponsors. Elle a été amenée à négocier et suivre les commandes avec les fournisseurs de matériels de laboratoire pour subvenir aux besoins internes de l’équipe R&D.
Elle s’est ensuite penchée sur les problématiques externes au projet notamment les questions éthiques et sociétales que génère notre concept, elle a ainsi supervisé l’organisation de la conférence éthique sur le thème de la biologie synthétique.
C’est surtout leur double compétence dans les domaines scientifique et communication, qui ont fait d’elles des personnes intéressantes pour l’aventure.
Une bonne vue du concept et une appréhension des questions éthiques et sociétales que soulèvent ce dernier, aidée de plusieurs expériences dans le domaine, a permis à Ranya d’orchestrer au mieux la conférence éthique et à Emma de répondre aux questions de Sûreté.
Au début de l’aventure, le concept était déjà défini. Nous connaissions les propriétés de notre vecteur, notre cellules cibles ainsi que la protéine à muter, mais de nombreuses questions restaient en suspends.
C’est ainsi, qu’il a établi que seule notre cellule cible possède sur sa membrane une protéine c-kit. Il a ensuite identifié la protéine cible de ce récepteur et designé sa biobrick. Celle-ci orne maintenant l’une des protéines de notre phage, permettant à ce dernier de cibler nos cellules d’intérêt.
Il a ensuite déterminé les mutations les plus courantes dans les cellules cancéreuses afin de savoir quels gènes apporter.
Il a ainsi étudié puis désigné les gènes comportant des mutations avant de mener l’étude de l’un d’eux en laboratoire.
Une fois la molécule de ciblage et les mutations définies, il a fallu construire notre vecteur cellulaire.
Ils ont ensuite décidé de le « biobricker » entièrement afin de le rendre modulable.
Connaissant parfaitement le phage, ils ont choisi l’emplacement optimal pour la protéine de ciblage identifiée par Damien. Cependant un problème subsistait, le vecteur cellulaire naturellement non infectieux pour les cellules eucaryotes, pourrait-il pénétrer notre cible ?
David eut alors l’idée d’ajouter une seconde protéine de ciblage à notre vecteur. Une protéine issue de l’adénovirus, servant à l’échappement de l’endosome. Il l’a ainsi biobrickée et ajoutée à notre vecteur.
Pour son étude en laboratoire, le phage a été étudié par David, Nassrine LABLACK et Aurélie NEGREL, toutes deux étudiantes en 5ème année spécialisées en R&D en biotechnologie. Ces dernières ainsi que David ont une forte expérience en laboratoire. David et Aurélie ont suivi une formation technique avant d’intégrer Sup’Biotech. Nassrine, en plus de son cursus à Sup’Biotech, travaille en laboratoire en biologie.
Une protéine à modifier, un vecteur cellulaire, il ne manquait plus que notre vecteur tissulaire.
Dans l’optique d’une validation technique, il a élaboré une étude de suivi de cette dernière dans un organisme murin. Pour ce faire, il a su se rapprocher des spécialistes de Mycobacterium, et a fait des analogies avec diverses études menées In Vivo. Par la suite, il a pratiqué l’étude designée en laboratoire.
La complémentarité de chacun a permis de répondre aux exigences de notre projet. Par un travail de recherche, d’analyse et d’interprétation, tous avons su mettre à contribution notre savoir faire afin de répondre au mieux à notre objectif commun : concrétiser le projet DVS.