Team:SupBiotech-Paris/Equipe

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Une équipe se défini en deux points : ses membres et sa stratégie de fonctionnement. Découvrez donc les caractéristiques de notre équipe…

Stratégie d’équipe

Pour le développement d’un projet innovant, plusieurs éléments sont essentiels :

- le concept,
- le développement théorique permettant une concrétisation d’un prototype,
- le développement expérimental pour valider le prototype,
- l’apport des besoins techniques et matériels,
- l’évaluation des problématiques éthiques et sociétales soulevé par le projet,

Dans cette optique, nous avons structuré notre équipe de la manière suivante :
Une équipe managériale, ayant l’expérience dans le développement de projets innovants et une vision complète dans la gestion de ceux-ci.
Une équipe R&D pour valider le concept d’un point de vue théorique et expérimental.
Une équipe communication pour subvenir aux besoins internes et externes du projet.

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L’équipe

Voici l’histoire de notre équipe pour l’aventure iGEM 2009 :

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Enguerrand HABRAN, étudiant en 5ème année spécialisé en R&D en biotechnologie, a créé et managé une équipe de 11 étudiants durant l’aventure pour mener à bien le projet DVS. A travers ses expériences professionnelles, il a acquis de nombreuses compétences dans les domaines entrepreneurial et managérial, en étant notamment chef de projet à plusieurs reprises.
Passionné de science, il a conçu durant son cursus un concept innovant basé sur le principe de vectorisation. Convaincu de sa faisabilité, il a choisi de poursuivre ses recherches afin d’en réaliser le prototype. Pour arriver à ses fins, il a étudié avec entrain les publications et s’est tourné vers les grands noms du domaine. Une fois ses connaissances théoriques suffisantes, il a développé ses compétences expérimentales au sein du laboratoire du Professeur COUVREUR, sur la réalisation d’une nanoparticule anticancer.
Alliant la théorie à l’expérimentation, il a pris conscience des problématiques sous-jacentes de la vectorisation et a élaboré avec le reste de l'équipe le système de double vectorisation (DVS) pour y répondre.


Par la suite, il a sélectionné, pour l’aventure iGEM, les étudiants de l’équipe via leurs compétences inhérentes au projet.

Enguerrand a décidé de prendre en charge l’équipe R&D et a confié l’équipe Communication à Gaëlla AZZI.
Grâce à leurs expériences communes et complémentaires dans la création et le développement de projet, Enguerrand était convaincu de l’intérêt de la présence de Gaella au sein du projet iGEM. Etudiante en 5ème année spécialisée Marketing Commercial en biotechnologie, elle a forgé ses compétences à travers ses différentes expériences professionnelles.
Durant l’aventure iGEM, elle a managé une équipe de 3 étudiants avec lesquels elle s’est chargée de prospecter des sponsors. Elle a été amenée à négocier et suivre les commandes avec les fournisseurs de matériels de laboratoire pour subvenir aux besoins internes de l’équipe R&D.
Elle s’est ensuite penchée sur les problématiques externes au projet notamment les questions éthiques et sociétales que génère notre concept, elle a ainsi supervisé l’organisation de la conférence éthique sur le thème de la biologie synthétique.


Ranya JAMALI et Emma VALETTE, étudiantes en 4eme année, ainsi que Yolène MONEDERO, étudiante en 5eme année spécialisée en Marketing Commercial en biotechnologie, ont eu plusieurs missions durant l’aventure. Elles ont prospecté les sponsors, et travaillé à la réalisation des divers supports de communication.

C’est surtout leur double compétence dans les domaines scientifique et communication, qui ont fait d’elles des personnes intéressantes pour l’aventure.
Une bonne vue du concept et une appréhension des questions éthiques et sociétales que soulèvent ce dernier, aidée de plusieurs expériences dans le domaine, a permis à Ranya d’orchestrer au mieux la conférence éthique et à Emma de répondre aux questions de Sûreté.


Au début de l’aventure, le concept était déjà défini. Nous connaissions les propriétés de notre vecteur et notre cellule cible, mais de nombreuses questions restaient en suspends.

Damien PARRELLO, étudiant en 5ème année spécialisé en R&D en biotechnologie, a eu pour mission d’étudier notre cellule cible et ses mutations. Il a étudié les protéines membranaires de cette dernière, afin de déterminer LA protéine qui serait spécifique à notre cellule d’intérêt.
C’est ainsi, qu’il a établi que seule notre cellule cible possède sur sa membrane une protéine c-kit. Il a ensuite identifié la protéine cible de ce récepteur et designé sa BioBrick. Celle-ci orne maintenant l’une des protéines de notre phage, permettant à ce dernier de cibler nos cellules d’intérêt.
Il a ensuite déterminé les mutations les plus courantes dans les cellules cancéreuses afin de savoir quels gènes apporter dans notre plasmide thérapeutique.
Il a ainsi étudié puis désigné les gènes comportant des mutations avant de mener l'étude de l’un d’eux en laboratoire.


Une fois la molécule de ciblage et les mutations définies, il a fallu construire notre vecteur cellulaire.

caption
David CHAROY, étudiant en 5ème année spécialisé en R&D en biotechnologie et Cyprien VERSEUX, étudiant en 1ère année ont, dans un premier temps, fait un état de l’art du phage afin d’en comprendre son fonctionnement.

Ils ont ensuite décidé de le « BioBricker » entièrement afin de le rendre modulable.
Connaissant parfaitement le phage, ils ont choisi l’emplacement optimal pour la protéine de ciblage identifiée par Damien. Cependant un problème subsistait, le vecteur cellulaire naturellement non infectieux pour les cellules eucaryotes, pourrait-il pénétrer notre cible ?
David eut alors l’idée d’ajouter une seconde protéine de ciblage à notre vecteur. Une protéine issue de l’adénovirus, servant à l’échappement de l’endosome. Il l’a ainsi BioBrickée et ajoutée à notre vecteur.
Pour son étude en laboratoire, le phage a été étudié par David, Nassrine LABLACK et Aurélie NEGREL, toutes deux étudiantes en 5ème année spécialisées en R&D en biotechnologie. Ces dernières ainsi que David ont une forte expérience en laboratoire. David et Aurélie ont suivi une formation technique avant d’intégrer Sup’Biotech. Nassrine, en plus de son cursus à Sup’Biotech, travaille en laboratoire en biologie.


Une protéine à modifier, un vecteur cellulaire, il ne manquait plus que notre vecteur tissulaire.

Thierry LECLERC, étudiant en 4ème année spécialisé en R&D en biotechnologie, a fait un état de l’art sur Mycobacterium, notre candidat au vecteur tissulaire. Ce dernier a eu deux objectifs principaux : la résistance au système immunitaire et le tropisme pulmonaire. Une fois ses connaissances sur la bactérie suffisantes, il a validé théoriquement le concept en démontrant par la littérature scientifique que Mycobacterium remplirait parfaitement son rôle.
Dans l’optique d’une validation technique, il a élaboré une étude de suivi de cette dernière dans un organisme murin. Pour ce faire, il a su se rapprocher des spécialistes de Mycobacterium, et a fait des analogies avec diverses études menées In Vivo. Par la suite, il a pratiqué l’étude designée en laboratoire.


Enfin, pour la partie modélisation, Timothée KIRKHUS, étudiant en 4ème année spécialisé en Production en biotechnologie, a modélisé les effets de notre traitement sur une tumeur pulmonaire, afin de déterminer les cinétiques d'injection des différents systèmes du DVS.


La complémentarité de chacun a permis de répondre aux exigences de notre projet. Par un travail de recherche, d’analyse et d’interprétation, tous avons su mettre à contribution notre savoir faire afin de répondre au mieux à notre objectif commun : concrétiser le projet DVS.


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